Levrai cout de la vie au Maroc et ses avantages fiscaux. Eh oui qu’on se le dise, il y’a quand même de nombreux avantages à vivre au Maroc et parmi eux des avantages fiscaux pour les Français expatriés. Ainsi en déménageant au Maroc et en y habitant au moins 183 jours, vous ne serez plus un résident fiscal français et aurez à payer vos impôts sur le revenu au
Train de mobilisés, 1914. Année scolaire 2018-2019 – Lycée Cassini de Clermont-de-l'OiseObjet d'étude Écriture poétique et quête du sens, du Moyen Age à nos jours Groupement de textes la Grande Guerre des poètes, entre révolte, mémoire et oubli Texte 3 Louis Aragon 1896-1966, La guerre et ce qui s'ensuivit » Le Roman inachevé, 1956Le poète se souvient des frères d'armes de son régiment qui a pris le train à la gare de Verberie dans l'Oise pour rejoindre le front. On part Dieu sait pour où ça tient du mauvais rêveOn glissera le long de la ligne de feuQuelque part ça commence à n'être plus du jeuLes bonshommes là-bas attendent la relève […]Et nous vers l'est à nouveau qui roulons VoyezLa cargaison de chair que notre marche entraîneVers le fade parfum qu'exhale les gangrènesAu long pourrissement des entonnoirs1 noyésTu n’en reviendras pas toi qui courais les fillesJeune homme dont j’ai vu battre le cœur à nuQuand j’ai déchiré ta chemise et toi non plusTu n’en reviendras pas vieux joueur de manille2Qu’un obus a coupé par le travers en deuxPour une fois qu’il avait un jeu du tonnerreEt toi le tatoué l’ancien LégionnaireTu survivras longtemps sans visage sans yeuxRoule au loin roule train des dernières lueursLes soldats assoupis que ta danse secoueLaissent pencher leur front et fléchissent le couCela sent le tabac la laine et la sueurComment vous regarder sans voir vos destinéesFiancés de la terre et promis des douleursLa veilleuse vous faite de la couleur des pleursVous bougez vaguement vos jambes condamnéesVous étirez vos bras vous retrouvez le jourArrêt brusque et quelqu’un crie Au jus là-dedansVous baillez Vous avez une bouche et des dentsEt le caporal chante Au pont de Minaucourt3Déjà la pierre pense où votre nom s’inscritDéjà vous n’êtes plus qu’un mot d’or sur nos placesDéjà le souvenir de vos amours s’effaceDéjà vous n’êtes plus que pour avoir cratères causés par l'explosion des jeu de chanson Au mont de Minaucourt » que la caporal chante est composée sur l'air fameux de Sous les ponts de Paris » paroles de Jean Rodot, musique de Vincent Scotto et célèbre les combats de 1915 au mont du Marson près de Minaucourt, dans la Marne. Ce lieu fut particulièrement meurtrier. C'est sur la commune de Minaucourt que se trouve actuellement la nécropole nationale où ont été inhumés 21319 soldats. Gare de Verberie, dans l'Oise. Début du XXe siècle. C'est de cette gare que Louis Aragon a pris le train avec son régiment pour aller se battre au front. LECTURE ANALYTIQUE 4 Introduction Je présente l'auteur Louis Aragon est un poète, romancier et journaliste français, né en 1897 à Paris et mort le 24 décembre 1982 dans cette même ville. Il est également connu pour son engagement et son soutien au Parti communiste français de 1927 jusqu'à sa mort. Avec André Breton, Tristan Tzara, Paul Éluard, Philippe Soupault, il fut l'un des animateurs du dadaïsme parisien et du surréalisme. À partir de la fin des années 1950, nombre de ses poèmes sont mis en musique et chantés par Léo Ferré ou Jean Ferrat, contribuant à porter son œuvre poétique à la connaissance d'un large public la première chanson tirée d'une œuvre d'Aragon date de 1953 ; composée et interprétée par Georges Brassens, elle reprend le poème Il n'y a pas d'amour heureux, paru dans La Diane française en 1944 mais adapté en la circonstance par le chanteur. Avec l'écrivaine Elsa Triolet, il a formé l'un des couples emblématiques de la littérature française du XXe est en deuxième année de médecine avec André Breton au Quatrième fiévreux » du Val-de-Grâce, le quartier des fous, où les deux carabins se sont liés à Philippe Soupault, quand il est mobilisé, à ce titre, comme brancardier, puis adjudant médecin auxiliaire. Sur le front, il fait l'expérience des chairs blessées, de la violence extrême de la Première Guerre mondiale, d'une horreur dont on ne revient jamais tout à fait mais qui réapparaîtra constamment dans son œuvre et qui est à l'origine de son engagement futur. Il reçoit la croix de présente son œuvre Dans Le Roman inachevé, l'écrivain se penche sur sa vie passée dans un recueil qui prend la forme d'une autobiographie poétique, où il pèse le poids des rêves et des souffrances, des amours, des déceptions et des échecs. Le mot roman » est à entendre ici au sens médiéval récit en vers français en roman et non en latin ; depuis le XIIe siècle, roman » se dit d' un récit en vers contant des aventures ».Je présente l'extrait choisi Dans ce poème, Aragon nous replonge à la fois dans le train qui emmène son régiment au front et au pied du monument aux morts sur lequel sont inscrits tous les noms de ses frères d'armes tombés au combat. L'émotion côtoie l'humour noir, et le poète est tiraillé entre les larmes et la révolte contre l’État et contre les officiers qui ont encouragé des massacres inutiles. On lit surtout une vraie complicité entre le poète survivant et ses amis morts au champ d'honneur. Problématique comment l'auteur parvient-il à rendre hommage à ses frères d'armes ? Annonce du plan Le texte se déploie en 3 mouvements Un destin tragiqueUne peinture morbide, polémique et grotesque de la guerre Un regard mélancolique envers ses frères d'armes Train de mobilisés, 1914, France. Un destin tragiquetout le poème repose sur un jeu d'analepses et de prolepses, entre visions du passé et visions du futur des soldats mis en scène comment vous regarder sans voir vos destinées »le poète est le voyant, sorte de Cassandre qui connaît le sort de ses camaradesle souvenir des camarades est intimement lié à leur mortla mort est omniprésentela mort touche tous les soldats jeune homme », ancien Légionnaire », vieux »la mort ne fait aucune distinction entre eux, quel que soit l'âge ou le rangla mort est présente même chez les vivants, quand le poète décrit l'attitude des soldats dans le train, qui font déjà penser à des morts laissent pencher leur front et fléchissent leur cou »l'allitération en [v] et l'assonance en [é] dans le vers déjà cité, le champ lexical de la vision, renforcent la dimension prophétique du poètele présent de narration nous replonge dans les souvenirs du poète on part », attendent », roulons », quelqu'un crie »le présent de description place le lecteur au milieu des soldats, dans le train qui les amène au front laissent pencher leur front et fléchissent le cou », cela sent le tabac », vous bougez vaguement », vous étirez vos bras vous retrouvez », vous baillez »le présent de description place le lecteur au milieu des soldats, dans le train qui les amène au front laissent pencher leur front et fléchissent le cou », cela sent le tabac », vous bougez vaguement », vous étirez vos bras vous retrouvez », vous baillez »le présent d'énonciation rappelle que les soldats décrits sont morts la pierre pense où votre nom s'inscrit », vous n'êtes plus qu'un mot », s'efface », vous n'êtes plus »le présent d'énonciation et l'anaphore déjà » insistent sur la disparition et l'oubli, sur l'appartenance des soldats au passé et à la mortle futur de l'indicatif cloisonne l'avenir, ferme l'horizon des soldats en dévoilant leur destin tragique on glissera », tu n'en reviendras pas », tu survivras »l'anaphore tu n'en reviendras pas » agit comme un refrain et permet d'insister sur le destin tragique des soldatsle contraste entre l'évocation des souvenirs et le rappel du destin tragique crée une tensionle train n'est pas que le moyen de transport des soldatsle train est l'allégorie du destin qui emporte les soldats vers la mort ils sont mus, poussés et déterminés par une force toute-puissante contre laquelle ils ne peuvent rien on part Dieu sait pour où », et nous vers à l'est à nouveau qui roulons »le train apparaît comme une sorte de danse macabre moderne qui emporte les âmes à la mort les soldats assoupis que ta danse secoue », roule au loin roule train des dernières lueurs »l'assonance en ou » et l'allitération en r » dans le vers roule au loin roule train des dernières lueurs » permettent non seulement d'imiter le bruit du train, mais encore d'exprimer la dureté du destin qui va emporter les soldats dans la mortc'est quasiment un train fantôme composé des wagons souvenirs du poète Danse macabre de Michael Wogelmut. né en 1434 à Nuremberg, mort le 30 décembre 1519 dans la même ville est un peintre, dessinateur et graveur sur bois de la Renaissance allemande. Il fut l'un des deux illustrateurs de La Chronique de Nuremberg. II. Une peinture morbide, polémique et grotesque de la guerrele poète évoque la guerre par petites touches morbidesla condition des soldats est cauchemardesque ça tient du mauvais rêve »les soldats sont considérés comme de la chair à canon la cargaison de chair »les soldats sont comparés à du bétail qui irait à l'abattoirla guerre est un aller simple pour la mortles soldats sont des condamnés en sursis, des jeunes envoyés à la boucherie vos jambes condamnées »les soldats sont des victimes sacrificielles comme le montrent ces deux périphrases fiancés de la terre et promis des douleurs »le lexique habituellement destiné à l'amour et aux noces est dévié pour être associé à la mort et à la souffrancecette association des noces et de la mort renforce la dimension sacrificielle des soldatsla mort est synonyme de souffranceen envoyant les soldats à la guerre, on les envoie directement à la mortregistre polémiquel'auteur veut toucher le lecteur, le remuer, le bouleverser, en s'adressent directement à lui Voyez »la guerre n'est plus rien de glorieuxla guerre est une farce tragique et grotesqueabsence totale du registre épiquela guerre évoque des images de pourriture, de décomposition, de maladie, d'éclatement des corps gangrènes », au long pourrissement des entonnoirs noyés », j'ai vu battre le cœur à nu », qu'un obus a coupé par le travers en deux », sans visage et sans yeux »la guerre apparaît comme une boucheriela guerre pue vers le fade parfum qu'exhalent les gangrènes »peinture apocalyptique, sombre et anti-épique de la guerrele poète pour montrer l'absurdité révoltante de la guerre utilise l'humour noir au souvenir du soldat coureur de jupons, éternel amoureux, est attachée l'image chirurgicale d'un cœur ouvertla guerre est une farce tragique ironie tragique l'éternel amoureux a eu son cœur à nu » au sens propre ; le joueur de cartes est devenu aveugle, le très bon joueur de cartes s'est fait exploser par le tonnerre d'un obus, ceux qui baillent n'auront plus de mâchoireau souvenir du soldat gagnant au jeu de cartes est associée l'explosion d'un obustélescopage ou association entre jeu de tonnerre » et qu'un obus a coupé par le travers »jeu de mots à partir de tonnerre »cela renforce l'impression que la mort tombe au hasard, comme à la loterieceux qui sont morts ont tiré les mauvaises cartesmême le souvenir des soldats fatigués évoque de futurs cadavres laissent pencher leur front et fléchissent le cou »l'évocation vous avez une bouche et des dents » laisse présupposer que les soldats qui sont revenus du front n'ont plus ni bouche ni dentsla seule faute des soldats est d'être morts comme l'indique le dernier vers l'allitération en p » souligne que les soldats sont coupables d'être morts et qu'ils ont sacrifié leur viel'allitération en p » suggère de la violence et de la peinel'auteur dénonce la guerre celle-ci n'a rien d'héroïque, elle transforme les soldats en chair à canon, elle se caractérise par une effroyable boucherie et par un sacrifice collectif Le Triomphe de la Mort 1562 est une œuvre de Pieter Brueghel l'Ancien conservée au musée du Prado à Madrid Espagne. Ce tableau est une allégorie mettant en scène diverses formes relatives à la mort crime, exécution, maladie, combat, suicide. Allégorie de la mort à qui personne n'échappe, on y voit toutes les classes sociales, rois, cardinaux, joueurs de cartes, amants, égaux devant la mort. III. Un regard mélancolique envers ses frères d'armes, contre l'oubli tout le texte est empreint d'une certaine mélancolie de la couleur des pleurs »registre lyrique, pathétique et élégiaquele poète plonge dans ses souvenirs de médecin des tranchées comme le prouve l'utilisation du passé composé j'ai vu », j'ai déchiré »le poète invoque les figures fantomatiques et oubliées de ses amis et camarades disparus à la guerre le futur de l'indicatif traduit une certaine tristesse et un vrai désespoirl'utilisation des pronoms personnels et des déterminants, les structures emphatiques révèlent une vraie complicité et un esprit de camaraderie envers les personnages invoqués on », nous », notre » le poète se replace parmi ses camarades morts ou disparusesprit de fraternité tu », toi qui courais », ta chemise », et toi non plus tu », et toi le tatoué tu » en s'adressant directement à eux, le poète montre sa sympathie pour ces soldats qu'il a côtoyéscette sympathie s'exprime également par l'évocation de souvenirs rendant les soldats pleins de vie et attachants à travers un lexique affectifà chaque soldat est attaché une activité dévoilant son caractère et le rendant à nouveau vivant qui courais les filles jeune homme », vieux joueur de manille », le tatoué l'ancien Légionnaire »la mobilisation des sensations la vue le tatoué », l'odorat dans l'énumération le tabac la laine et la sueur », l'ouïe chante », crie » redonne de la vie aux amis disparus et renforce la mélancolie par un jeu de contraste avec le présentla dernière strophe qui repose sur l'anaphore déjà » acentue ce mélange de révolte, de désespoir et de mélancolie en déplorant l'oubli dont sont victimes les mortsL'anaphore déjà » insiste sur le fait que la vie est trop courte, insiste sur la mort et sur la durée limitée des soldatsla mort arrive très vitel'auteur dénonce aussi l'hypocrisie de la nation qui croit racheter la mort de millions d'hommes en se contentant de figer dans la pierre des noms sans rappeler leur visag, leur passé, leur identité, leur caractère, leurs caractéristiques physiquesmais en dénonçant cet oubli après avoir invoqué leurs figures, le poète permet au lecteur de faire un véritable travail de mémoirele poète assume ce travail de mémoire grâce à son geste poétiqueil insiste sur l'oubli souvenir », s'efface »le poète a composé ce texte en la mémoire des défunts, pour qu'on se souvienne d'eux, pour dénoncer la guerre, pour lutter contre l'oubli, pour qu'on commémore tous les soldats, pour rendre hommage aux soldats tombés, pour les remercieril dénonce l'oubli et le manque de travail de mémoire juste marquer leurs noms sur un monument, ce n'est pas assez déjà vous n'êtes plus qu'un mot d'or sur nos places »Il dénonce l’État qui pense racheter sa conscience en érigeant des monuments aux mortsc'est l'écriture poétique ici qui parvient à rendre hommage aux morts et à faire un véritable travail de mémoire Les Joueurs de skat en allemand Die Skatspieler est un tableau peint par Otto Dix en 1920. Il représente des invalides de la Première Guerre mondiale. Il est conservé à la Neue Nationalgalerie de Berlin. Il a aussi porté le titre, plus tardif, Kartenspielende Kriegskrüppel Mutilés de guerre jouant aux cartes. Il appartient au courant artistique appelé Nouvelle Objectivité. Conclusion ce texte est intéressant car il dévoile la réalité morbide et grotesque d'une guerre industrielle qui a réduit les soldats à de la chair à canon. Il nous touche grâce à un jeu subtil entre le passé et le présent, et il nous emporte dans les wagons du souvenir. Aussi, l'auteur parvient à lutter contre l'oubli en interpellant le lecteur et en multipliant les différentes tonalités tragique, grotesque, polémique, lyrique, pathétique. Le poète parvient à rendre hommage aux morts en tissant un lien entre les vivants et les morts et en redonnant un visage et une âme aux disparus. On retrouve la même évocation d'une boucherie atroce pour décrire la guerre dans Candide de Voltaire boucherie héroïque », mais également et surtout dans Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline, qui définit la Première Guerre mondiale comme la fricassée boueuse des héroïsmes ». L'Anneau de la mémoire est un monument unique en son genre. 579 606 noms y sont gravés, égrénés au fil de 500 plaques d'acier présentées en cercle, entre livre ouvert et anneau mémoriel. Philippe Prost, l'architecte retenu pour la conception de ce mémorial, a réussi à concevoir une structure qui réunit la nature, le paysage, l'art et l'histoire au service de la mémoire. Et donc au service de l'avenir. Car cet Anneau de la mémoire, entre la nécropole de Notre-Dame de Lorette et la descente vers le village d'Ablain-Saint-Nazaire, porte un message fort. En présentant cette liste effarante de noms de manière alphabétique, sans distinction de nationalité, de genre, de religion ou de grade, il rassemble tous ces morts dans une forme de fraternité éternelle, un message de paix universelle. Une paix réelle mais fragile, symbolisée par ces 500 plaques de métal formant une gigantesque ellipse posée en équilibre sur un territoire autrefois bouleversé par la guerre. Source du texte
EnUkraine, qui a ses propres lois mémorielles « condamnant les régimes totalitaires communiste et national socialiste » (loi no. 2558 de 2015), il est intéressant de voir que la référence à la Seconde Guerre mondiale est également présente.Par exemple lorsque le Président Volodymir Zelensky compare le siège brutal de la ville de Marioupol par les troupes Le Train De La VieLa vie est pareille a un trainChaque stations est une étapeCertains descendentD’autres stagnent au même endroitCe n’est qu’une question de choixDescendre de ce train est risquéMais il faut avancerVas, découvre, apprendTel un jeune arbre au printempsFait germer le fruit de ta penséeEt plus tardReviensD’un pat sur et certainTend ta mainPour transmettre ton savoirA celui qui voudra le recevoirSyllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Le Train De La Viela=vieest=pa=reille=a=un=train 7cha=que=sta=tions=est=uneé=tape 7cer=tains=des=cendent 4dautres=sta=gnent=au=mê=meen=droit 7ce=nest=quune=ques=tion=de=choix 7des=cendre=de=ce=train=est=ris=qué 8mais=il=faut=a=van=cer 6vas=dé=cou=vre=ap=prend 6tel=un=jeunear=bre=au=prin=temps 7fait=ger=mer=le=fruit=de=ta=pen=sée 9et=plus=tard 3re=viens 2dun=pat=sur=et=cer=tain 6tend=ta=main 3pour=trans=mettre=ton=sa=voir 6a=ce=lui=qui=vou=dra=le=re=ce=voir 10Phonétique Le Train De La Viela vi ε paʁεjə a œ̃ tʁɛ̃ʃakə stasjɔ̃z- εt- ynə etapəsεʁtɛ̃ desɑ̃dedotʁə- staɲe o mεmə ɑ̃dʁwasə nε kynə kεstjɔ̃ də ʃwadesɑ̃dʁə də sə tʁɛ̃ ε ʁiskemεz- il fo avɑ̃seva, dekuvʁə, apʁɑ̃tεl œ̃ ʒənə aʁbʁə o pʁɛ̃tɑ̃fε ʒεʁme lə fʁɥi də ta pɑ̃see plys taʁʁəvjɛ̃dœ̃ pa syʁ e sεʁtɛ̃tɑ̃ ta mɛ̃puʁ tʁɑ̃smεtʁə tɔ̃ savwaʁa səlɥi ki vudʁa lə ʁəsəvwaʁSyllabes Phonétique Le Train De La Viela=vi=ε=pa=ʁεjəa=œ̃=tʁɛ̃ 7ʃakə=sta=sjɔ̃=zε=ty=nəe=tapə 7sεʁ=tɛ̃=de=sɑ̃=de 5do=tʁəs=ta=ɲe=o=mεməɑ̃=dʁwa 7sə=nε=kynə=kεs=tjɔ̃=də=ʃwa 7de=sɑ̃dʁə=də=sə=tʁɛ̃=ε=ʁis=ke 8mε=zil=fo=a=vɑ̃=se 6va=de=ku=vʁə=a=pʁɑ̃ 6tεl=œ̃=ʒə=nəaʁbʁə=o=pʁɛ̃=tɑ̃ 7fε=ʒεʁ=me=lə=fʁɥidə=ta=pɑ̃se 7e=plys=taʁ 3ʁə=vj=ɛ̃ 3dœ̃=pa=syʁ=e=sεʁ=tɛ̃ 6tɑ̃=ta=mɛ̃ 3puʁ=tʁɑ̃s=mεtʁə=tɔ̃=sa=vwaʁ 6a=səl=ɥi=ki=vu=dʁalə=ʁə=sə=vwaʁ 9 Historique des Modifications Commentaire Sur La Poesie25/08/2016 2350CoburitcLe train de la vie , beaucoup de chansons sur ce sujet , le petit train des Rita l’une des plus belle. Jean-Pierre
Extraitdu livre L’Enfant qui attendait écrit en 2009, Le train de la vie de Jean d’Ormesson est une magnifique métaphore de la vie. Des mots magnifiques qui nous invitent à aller à l’essentiel, à savourer l’instant présent et à exprimer notre gratitude pour les belles personnes qui illuminent nos vies.
Roman publié en 1865 tout d'abord en feuilleton dans Gil Blas puis en volume, la même roman retrace le parcours initiatique d'un jeune homme prêt à tout pour conquérir la capitale et réussir. Il mettra sept années à atteindre son but, accumulant les conquêtes féminines, instruments de son ascension PARTIECHAPITRE 1Le récit commence un 28 juin et ce chapitre s'étale sur une journée. Le personnage principal Georges Duroy est un ancien sous-officier récemment employé aux Chemins de fer du Nord. Il a peu d'argent et envie ceux qui peuvent profiter de la vie parisienne. Un soir, alors qu'il se promène dans les rues de Paris, il rencontre Forestier, un ancien ami, ex-camarade de régiment, qui est devenu rédacteur politique dans le journal "La vie française". Il lui donne une leçon de vie parisienne et lui demande pourquoi il n'essaierait pas le journalisme. Forestier constate que Duroy rencontre un certain succès auprès des femmes. Il l'invite à venir dîner chez lui pour lui faire rencontrer le directeur de son 2Georges Duroy se rend au dîner des Forestier. Il séduit Mme Walter, la femme du directeur du journal qui, conquise par ses souvenirs d'Afrique qu'il a racontés avec brio, lui demande de rédiger un article sur l'Algérie où il a vécu 28 mois. Il y rencontre aussi Mme Forestier, Mme de Marelle, une bourgeoise bohème et sa petite fille Laurine. Il est tout de suite intégré "Toutes les femmes avaient les yeux sur lui".CHAPITRE 3Duroy rencontre de terribles difficultés pour écrire l'article. Il en parle à son ami Forestier qui lui propose l'aide de sa femme, qui a un talent pour écrire des chroniques. Mme Forestier l'aide à écrire son premier article et le pousse à revoir Mme de Marelle. Georges ne sait comment la remercier. Le comte de Vaudrec se présente au domicile des Forestier, il serait un "ami intime". Georges se 4Lorsqu'il sort de l'appartement, il se sent triste. Puis, il se rend à la Vie Française et donne "son" article. Walter semble satisfait sans même lire l'article. Georges obtient une embauche régulière au journal. Mais il doit écrire la suite pour le lendemain, Georges est impatient de trouver son article dans le journal. Il ressent une joie immense et beaucoup de fierté. Il donne sa démission au bureau des chemins de fer. Il prend du bon temps puis se rend au journal où il sera reçu avec froideur, d'autant qu'il n'a pas apporté la suite de sa chronique. Puis, il suit Saint-Potin qui doit lui donner des conseils pour la pratique de son nouveau chez lui, il se met au travail mais sans succès. Il se présente de nouveau chez Mme Forestier pour demander de l'aide mais il est éconduit par son mari. Il produit finalement un article mais celui-ci n'est pas publié le lendemain. Il se consacre dorénavant à une autre forme de journalisme l'écriture de reportages payés à la ligne mais cela ne lui convient pas car cela rapporte peu d'argent.Le narrateur donne dans ce chapitre de nobreuses informations sur La Vie française le journal, le directeur, les journalistes, les tâches du 5Georges est frustré ils n'est pas assez riche et les portes des grands du monde lui sont fermées. Il souvient de l'invintation passée de Mme de Marelle et se rend chez elle. Il y est accueilli chaleureusement par la mère et la fille. Il est aussitôt réinvité. Mme de Marelle organise un dîner au restaurant avec le couple Forestier. Tous les quatre mangent bien et la conversation est grivoise. Mais Forestier est en retrait car il souffre de la poitrine. Au retour, alors qu'il raccompagne Mme de Marelle, Georges l'embrasse. Ils prennent rendez-vous pour le lendemain. Le surlendemain, ils sont amants. A partir de ce moment, elle lui rend visite quotidiennement dans son petit appartement. Mais un jour, elle est prise à parti par des voisins qui l'humilient publiquement. Elle ne veut plus remettre les pieds chez Georges. Elle trouve un nouveau lieu de rendez-vous un appartement qu'elle s'occupe de louer. Elle le fait découvrir à Georges qui, dans un premier temps, se demande comment il va le payer. Mais bien vite, elle le rassure elle prend tout en continuent de se voir tous les jours et Mme de Marelle aime particulièrement fréquenter les lieux populaires. Un soir, alors qu'ils se rendent aux Folies Bergères, ils tombent sur Rachel, une maîtresse occasionnelle de Georges. Celui-ci fait mine de ne pas la reconnaître. L'autre, vexée, l'apostrophe en lui rappelant leur relation. Clotilde de Marellle est choquée que Georges ait pu utiliser son argent pour fréquenter la prostituée. Elle abandonne Georges après l'avoir traité de cochon à plusieurs reprises. CHAPITRE 6Le lendemain, il se réveille sonné. Il tente de trouver du réconfort auprès de Rachel mais elle l'éconduit. Au journal, Forestier se montre désagréable et cinglant avec lui. Pour se venger, il décide de le faire cocu et se rend chez Mme Foresitier. Mais celle-ci le remet rapidement à sa place elle ne sera jamais sa maîtresse. En revanche, elle le conseille s'il veut réussir en lui recommandant de rendre visite à Mme Walter même si là non plus, il ne sera pas question de mariage. Comme il n'a pas été invité, il lui envoie un panier de poires qu'il a acheté près de chez lui et qu'il lui présente comme fraîchement arrivée de Normandie. En retour, il reçoit une samedi suivant, il se rend chez les Walter qui logent dans une belle demeure et où les conversations littéraires vont bon train. Dans un premier temps, il n'ose prendre la parole puis il finit par donner un avis original et remarqué sur les soir-là, il se réconcilie avec Rachel. Le lendemain, il est nommé chef des échos et invité à dîner chez Mme Walter. Au journal, il remplace M. Boisrenard, jugé consciencieux mais trop honnête et manquant de "maîtrise et de chic".Il s'installe à son nouveau bureau. Forestier est de plus en plus se dit qu'il doit changer de logement et se répète qu'il doit écrire à ses parents. Il se sent un autre homme et repousse les prostituées avec d'un dîner chez les Walter, il retrouve Clotilde et tous deux renouent. Il discute aussi longuement avec Norbert de Varennes au sujet de la mort. L'autre lui décrit sa vision pessimiste du lendemain, Clotilde décide de le présenter à son mari lors d'un dîner qu'elle veut organiser avec les Forestier. Charles est de plus en plus souffrant. Mme de Marelle indique à Georges que Mme Forestier va sûrement se remarier si son mari décède. Plus tard, Georges fait ses adieux au couple Forestier qui part à Nice. Il réafirme son attachement à Mme Forestier. CHAPITRE 7Duroy est vivement attaqué par un chroniqueur du journal concurrent "La Plume". Il n'a d'autre choix que de le combattre en duel. La nuit précédent cet affrontement, il est terrorisé mais finalement le moment venu, chacun tire sans toucher l'autre. L'affaire est est bouleversée quand elle apprend cet épisode et se montre très aimante. Il lui demande s'il peut occuper à plein temps l'appartement dans lequel ils se retrouvent, elle accepte après quelques réticences croyant qu'il risque de l'y tromper. Georges reste assez détaché "C'est une bien gentille maîtresse, je serai rudement bête de la lâcher". CHAPITRE 8Georges fréquente régulièrement Clotilde et la couple qu'elle forme avec son reçoit une lettre de Madeleine Forestier qui lui demande de venir l'assister car son mari est en train de vivre ses derniers moments. Georges prend le train le lendemain pour trouve Forestier très diminué, désagréable avec sa femme et obsédé par l'idée de sa mort. A la fin de la première journée, Georges souhaite repartir, ne supportant pas tout ce malheur. Mais finalement, il se résigne et reste. Le lendemain, Charles va beaucoup mieux et tous trois font une longue balade dehors. Le soir, il est cependant pris d'une quinte de toux et le médecin diagnostique le début de l'agonie. On fait venir le prêtre. Forestier meurt après avoir crié sa volonté de ne pas mourir. Georges et Madeleine se retrouvent de la veillée du corps, Georges pense à la mort, puis se met à contempler Madeleine. L'idée de la conquérir lui vient. Il lui dit qu'il est prêt à l'épouser même s'il est conscient que ce n'est ni le lieu, ni le moment de lui faire cette veille de l'enterrement, elle lui précise sa conception du mariage pour elle, c'est une association qui ne doit pas entraver sa liberté. Le lendemain du mariage, il quitte Cannes pour rejoindre 7Duroy est vivement attaqué par un chroniqueur du journal concurrent "La Plume". Il n'a d'autre choix que de le combattre en duel. La nuit précédent cet affrontement, il est terrorisé mais finalement le moment venu, chacun tire sans toucher l'autre. L'affaire est est bouleversée quand elle apprend cet épisode et se montre très aimante. Il lui demande s'il peut occuper à plein temps l'appartement dans lequel ils se retrouvent, elle accepte après quelques réticences croyant qu'il risque de l'y tromper. Georges reste assez détaché "C'est une bien gentille maîtresse, je serai rudement bête de la lâcher".Chapitre 8Georges fréquente régulièrement Clotilde et la couple qu'elle forme avec son reçoit une lettre de Madeleine Forestier qui lui demande de venir l'assister car son mari est en train de vivre ses derniers moments. Georges prend le train le lendemain pour trouve Forestier très diminué, désagréable avec sa femme et obsédé par l'idée de sa mort. A la fin de la première journée, Georges souhaite repartir, ne supportant pas tout ce malheur. Mais finalement, il se résigne et reste. Le lendemain, Charles va beaucoup mieux et tous trois font une longue balade dehors. Le soir, il est cependant pris d'une quinte de toux et le médecin diagnostique le début de l'agonie. On fait venir le prêtre. Forestier meurt après avoir crié sa volonté de ne pas mourir. Georges et Madeleine se retrouvent de la veillée du corps, Georges pense à la mort, puis se met à contempler Madeleine. L'idée de la conquérir lui vient. Il lui dit qu'il est prêt à l'épouser même s'il est conscient que ce n'est ni le lieu, ni le moment de lui faire cette veille de l'enterrement, elle lui précise sa conception du mariage pour elle, c'est une association qui ne doit pas entraver sa liberté. Le lendemain du mariage, il quitte Cannes pour rejoindre PARTIEChapitre 1Il lui rend visite régulièrement et un jour, elle lui annonce la date du mariage elle veut qu'il prévienne Clotilde et rencontrer ses parents car il ne doit pas avoir honte d'eux. Elle lui fait aussi part d'épouser un homme anobli et elle lui demande s'il peut modifier son nom. Il va devenir Monsieur Georges du Roy de Cantel transformation de Canteleu, sa bourgade natale. Une fierté l'envahit. Puis il prévient Clotilde qui s'effondre. Elle le laisse en lui disant qu'il a fait "le bon choix".Georges et Madeleine s'unissent sans cérémonie religieuse et discrètement. Puis, ils quittent Paris pour la Normandie. Dans le train, ils sont d'abord mal à l'aise, la jeune femme se montre froide et calculatrice. Peu à peu, l'atmosphère se détend et ils s'étreignent rapidement. La femme reste réservée face à l'emportement de arrivent chez les parents de Georges, les mariés se sentent mieux Georges est heureux de retrouver ses racines. Cependant, Madeleine est rapidement mal à l'aise face aux manières et au mode de vie rustiques. Elle précipite leur départ. Les parents sont surpris par ce départ 2Alors que Georges rentre chez lui avec un bouquet de roses pour sa femme, il apprend que Vaudrec est invité à dîner comme tous les lundis. Désappointé, il passe finalement une bonne soirée. Le couple se met au travail après le départ du conte il s'agit d'écrire un article en rapport avec les événements au Maroc. Cet article à teneur politique et polémique lui assure la célébrité. Madeleine, de son côté, fréquente aussi les grands de ce monde qui lui rendent de nombreuses visites. Parmi eux, Laroche-Mathieu vise le porte-feuille des affaires étrangères, c'est aussi l'actionnaire principal du groupe marche sur les traces de Forestier, à tel point que ses collègues l'appellent Forestier car leurs articles se ressemblent beaucoup. Georges en nourrit une grande haine contre son ancien ami et se met à faire sans cesse allusion à lui auprès de Madeleine en employant un ton qu'un soir, il se promène avec sa femme au Bois de Boulogne, il lui demande si elle a trompé Forestier. Elle refuse de lui répondre, mais il a la conviction qu'elle l'a fait. Il décide de ne plus penser qu'à lui même et de n'être motivé que par sa seule volonté de 3Alors qu'il rentre chez lui, il tombe sur Mme Walter et Clotilde. Madeleine lui dit que les filles Walter auraient pu être un bon parti pour lui. Le soir, il repense avec nostalgie à Clotilde et décide de lui rendre visite le lendemain. A la suite de cette rencontre, ils passe chercher Mme Walter et ses filles pour aller chez Rival assister à un assaut dans la salle d'armes. Il trouve la mère séduisante. De nombreuse personnalités sont présentes. Il s'agit d'une fête de bienfaisance. Il réalise qu'il plaît à Mme Walter. Il est heureux de son succès auprès des relations se tendent entre Georges et Madeleine. Il arrête d'évoquer Charles en l'appelant ce "cocu de Forestier". Parallèlement, il s'applique à séduire Mme Walter. Dans un premier temps, elle résiste mais cela est plus formel que sincère. Après avoir refusé l'invitation dans un premier temps, elle se présente à un diner avec d'autres amis chez Georges. Il reçoit toutes les femmes qu'il a séduites mais il porte une attention particulière à Mme Walter. Il décide de la raccompagner et lui fait une grande déclaration d'amour. Il obtient d'elle un rendez-vous pour le lendemain dans l'église de la Madeleine. Il raccompagne ensuite 4Georges attend Virginie Walter dans l'église. Lorsqu'elle arrive, il lui déclare à nouveau son amour. Elle finit par avouer qu'elle l'aime aussi. Mais restée seule, elle est dévorée par le remords et demande au prêtre de la confesser de toute urgence. Puis, elle quitte l'église après avoir retrouvé Georges et demandé de ne plus la voir en tête à tête. Il se rend ensuite au journal. Walter l'appelle Bel Ami. Il règne une grande effervescence le ministère vient de tomber. Georges rédige un article à ce sujet. Il reçoit un billet anonyme qui lui donne rendez-vous le lendemain. Il comprend que son auteur est Virginie. Le lendemain, elle se donne à 5L'influence politique du journal grandit. Du Roy travaille pour servir les ambitions politiques des grands de ce s'est lassé de Mme Walter et l'a quittée. Elle était trop envahissante. Un jour, elle lui envoie un billet pour lui fixer un rendez-vous. A cette occasion, il apprend qu'elle peut lui faire gagner beaucoup d'argent s'il participe à une opération menée en secret par Walter. Il accepte. Il retrouve ensuite Clotilde et lui donne la même information pour son mari afin qu'il profite aussi de cette aubaine. Mais celle-ci découvre les cheveux d'une autre femme sur son veston ce sont ceux de Virginie qui avait pris soin de les placer sur les boutons de la veste de son ancien amant lors de leur précédent rendez-vous. Elle le griffe puis s'enfuit. Georges décide de se venger il se met à détester meurt d'une crise de 6Vaudrec a légué toute sa fortune à Madeleine. Georges en est humilié et lui demande de partager pour moitié la somme sinon il refusera qu'elle touche l'héritage. Elle accepte en se montrant peu préoccupée par l'argent. Pour leur entourage, il s'agit de dire qu'ils ont hérité ensemble. Les tensions entre eux s'apaisent et ils retrouvent une complicité en dépensant l'argent qu'ils viennent de 7La conquête du Maroc est accomplie et Walter est devenu l'un des "maîtres du monde". Il s'installe dans un nouveau domicile très luxueux et achète un des tableaux les plus prisés du moment. Il le place chez lui et organise une soirée sur invitation pour parader. Du Roy refuse dans un premier temps puis accepte. C'est une très grande réception qui réunit le tout Paris. Il y séduit Suzanne Walter et se dit qu'elle serait décidément un bon parti. Elle s'engage à le tenir informé des demandes en mariage dont elle ferait l'objet. Pendant ce temps, sa femme ne quitte pas le ministre Laroche-Mathieu avec qui elle passe la plus grande partie de la Walter se consume de jalousie et reproche sa cruauté à Georges. Il lui impose une relation amicale si elle souhaite continuer à le retour de cette soirée, Madeleine apprend à Georges que Laroche lui a fait obtenir la Légion d'honneur. Georges estime que le ministre ne fait que payer sa dette à son égard et qu'il lui doit encore beaucoup. Ils dînent ensuite chez les 8Georges fréquente la maison Walter régulièrement. La sœur de Suzanne va bientôt se marier. Il fait une déclaration d'amour à Suzanne et lui demande de refuser toute demande en mariage et de lui faire il organise une opération policière pour faire constater l'adultère de sa femme en flagrant délit. Il y parvient en la surprenant un soir avec le ministre. Il se rend ensuite à La Vie Française ou il annonce à Walter l'adultère et la chute de Laroche-Mathieu qui en découle. Walter ne peut s'empêcher d'éprouver une certaine admiration pour 9Le divorce est prononcé. Lors d'une sortie pour aller déjeuner à Saint-Germain organisée par les Walter à laquelle Georges participe, il expose son plan à Suzanne il va l'enlever et forcer ainsi ses parents à accepter le mariage. Préalablement, la jeune fille aura demandé l'autorisation de l'épouser, mais Georges sait qu'ils refuseront chacun ayant ses propres raisons.Le plan fonctionne et Mme Walter est effondrée, terrassée par la douleur. Son mari lui reproche d'ailleurs d'être victime, comme nombre de femmes, du charme de nouveau couple rentre à 10Clotilde reproche à Georges d'épouser Suzanne "Comme tu es roué et dangereux, toi!". Elle est folle de rage et pour la faire taire elle l'accuse d'avoir couché avec Suzanne, il la frappe. Il décide de ne plus revenir dans leur appartement immense mariage s'organise c'est un événement à Paris. Le succès de Georges est immense. Tout laisse supposer que sa relation avec Clotilde n'est pas terminée et qu'il va devenir député. Cest à votre douceur que mon sentier m’amène. De ce sol lentement imprégné d’âme humaine, L’oubli, lent jardinier, extirpe les remords. L’impérissable amour erre de veine en veine ; Je ne veux pas troubler par une plainte vaine. L’éternel rendez-vous de la terre et des morts. En ces jours de prière pour les défunts tous les défunts ! pas seulement ceux que nous avons aimés…, voici un texte, de source anonyme, qui circule sur la toile et nous invite à penser à eux autrement. La vie est comme un voyage dans un train on monte et on descend, il y a des accidents,à certains arrêts, il y a des surpriseset à d’autres, il y a une profonde on naît et qu’on monte dans le train,nous rencontrons des personnes et nous croyonsqu’elles resteront avec nous pendant toute le voyage ce sont nos parents !Malheureusement la vérité est tout ils descendent dans une gareet ils nous laissent sans leur amour et leur affection,sans leur amitié et leur tous cas, il y a d’autres personnes qui montent dans le trainet qui seront pour nous très importantesCe sont nos frères et nos sœurs,nos amis et toutes les personnes merveilleuses que nous considèrent le voyage comme une petite ne trouvent que de la tristesse pendant leur y a d’autres personnes toujours présenteset toujours prêtes à aider ceux qui en ont quand ils descendent laissent une nostalgie pour toujours…D’autres montent et descendent tout de suiteet nous avons tout juste le temps de les croiser…Nous sommes surpris que certains passagersque nous aimons, s’assoient dans un autre wagonet que pendant ce temps nous laissent voyager personne ne peut nous empêcherde les chercher partout dans le malheureusement nous ne pouvons pasnous asseoir à côté d’eux car la place est déjà n’est pas grave…le voyage est comme ça plein de défis de rêves, d’espoirs, d’adieux…. mais sans de faire le voyage de la meilleure façon de comprendre nos voisins de voyageet cherchons le meilleur en chacun d’entre qu’à chaque moment du voyageun de nos compagnons peut vacilleret peut avoir besoin de notre aussi pouvons vaciller et il y aura toujoursquelqu’un pour nous grand mystère du voyage est que nous ne savons pasquand on descendra du train pour toujours,Nous ne savons pas non plusquand nos compagnons de voyage feront la même pas celui qui est assis juste à côté de je pense que je serai triste de quitter le train…. J’en suis sûr !La séparation avec tous les amis que j’ai rencontrés dans le trainsera douloureuse, laisser mes proches seuls sera très je suis sûr qu’un jour ou l’autre j’arriverai à la gare centraleet je les reverrai tous arriver avec un bagagequ’ils n’avaient pas quand ils sont montés dans le contre je serai heureux d’avoir contribuéà augmenter et enrichir leur ceux qui font partie de mon train, je souhaite unBON VOYAGE ! Untexte enterrement est destiné à une prise de parole à la mémoire du défunt durant ses obsèques ou la cérémonie d’hommage à l’anniversaire de son décès. Il prend la forme. soit d’une lecture d’un texte ou poème. soit un témoignage À la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, à une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage… Au fur et à mesure que le temps passe, d’autres personnes montent dans le train. Et elles seront importantes notre fratrie, nos amis, nos enfants, même l’amour de notre vie. Beaucoup démissionneront même éventuellement l’amour de notre vie, et laisseront un vide plus ou moins grand. D’autres seront si discrets qu’on ne réalisera pas qu’ils ont quitté leurs sièges. Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes, de bonjours, d’aurevoirs et d’adieux. Le succès est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu qu’on donne le meilleur de nous-mêmes. On ne sait pas à quelle station nous descendrons, donc vivons heureux, aimons et pardonnons. Il est important de le faire car lorsque nous descendrons du train, nous ne devrons laisser que de beaux souvenirs à ceux qui continueront leur voyage. Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique. Aussi, merci d’être un des passagers de mon train. Et si je dois descendre à la prochaine station, je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous. Je veux dire à chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie d’être dans ma vie et de voyager dans mon train. » Jeparle de millions d’hommes arrachés à leurs dieux, à leur terre, à leurs habitudes, à leur vie, à la vie, à la danse, à la sagesse. Aimé Césaire, Discours sur le colonialisme, 1950, Présence Africaine, 2004. 1. Un des fondateurs de la Royal Dutch Petroleum Company, aussi appelée Shell : une des plus importantes multinationales "L’essence de la Vie ? Biodiversifier ses idées sur les chemins du monde, Et faire voyager ses cinq sens!" Ludovic Lesven"Voyager, c'est donner un sens à sa vie, voyager, c'est donner de la vie à ses sens" Alexandre Poussin dans Africa Trek II "La vie, ce n'est pas seulment respirer, c'est avoir le souffle coupé !" Alfred Hitchkock"La vie est un long champ à cultiver. Voyager, c'est y semer la diversité de la Terre. Voyager, c'est l'embellir des couleurs du monde." L. Lesven"Les voyageurs n'ont ordinairement pour observer que les lunettes qu'ils ont apportées de leur pays et négligent entièrement le soin d'en faire retailler les verres dans les pays où ils vont." Jean Potocki"Un touriste se reconnait au premier coup d'oeil. C'est un individu habillé d'une manière telle que s'il se trouvait dans son propre pays, il se retournerait dans la rue en se voyant passer." Philippe Meyer"Le vrai domicile de l'homme n'est pas une maison mais la route, et la vie elle-même est un voyage à faire à pied."Bruce Chartwin"Dès qu'il sait marcher, l'enfant sait voyager..."xxx"Lorsque tu voyages, tu fais une expérience très pratique de l'acte de renaissance. Tu te trouves devant des situations complètement nouvelles, le jour passe plus lentement et, la plupart du temps, tu ne comprends pas la langue que parlent les gens. Exactement comme un enfant qui vient de sortir du ventre de sa mère. Dans ces conditions, tu te mets à accorder beaucoup plus d'importance à ce qui t'entour parce que ta survie en dépend. Tu deviens plus accessible aux gens car ils pourront t'aider dans des situations difficiles. Et tu reçois la moindre faveur des Dieux avec une grande allégresse, comme s'il s'agissait d'un épisode dont on doit se souvenir sa vie restante."Paolo Coelho"Qui a l'habitude de voyager... sait qu'il arrive toujours un moment où il faut partir."Paolo Coelho"Heureux le touriste qui a tout vu avant l'arrivée des touristes."Bernard Arcand"Tous les globe-trotters du monde le savent, c'est dans les rues qu'ils se frottent à l'identité d'un pays, tant esthétique que politique, tant mysthique qu'économique".Manu Chao"Le plus grand voyageur est celui qui a su faire une fois le tour de lui-même."Confucius"A quoi sert de voyager si tu t'emmènes avec toi ? C'est d’âme qu'il faut changer, non de climat."Sénèque"Un des grands malheurs de la vie moderne, c'est le manque d'imprévu, l'absence d'aventures."Théophile Gautier"Qui a l'habitude de voyager sait qu'il arrive toujours un moment où il faut partir."Paolo Coelho"Certes, un rêve de beignet c'est un rêve, pas un beignet. Mais un rêve de voyage, c'est déjà un voyage." vu sur l'un des forums ABM-VF"De tous les livres, celui que je préfère est mon passeport, unique in octavo qui ouvre les frontières."Alain Borer"Il y a autant de voyages que de feuilles sur l'arbre du voyageur."Kenneth White"N'ayez jamais peur de la vie, n'ayez jamais peur de l'aventure, faites confiance au hasard, à la chance, à la destinée. Partez, allez conquérir d'autres espaces, d'autres espérances. Le reste vous sera donné de surcroît."Henry de Monfreid"Naturellement, les voyages autour du monde ne sont pas aussi agréables qu'ils le paraissent. C'est seulement quand vous avez fui toute cette horreur et toute cette chaleur que vous en oubliez les désagréments et que vous vous souvenez des scènes étranges que vous avez vues."Jack Kerouac"Le plus beau voyage, c'est celui qu'on n'a pas encore fait." Loick Peyron"Si l'on ne se met pas en question, si l'on ne court pas une vraie aventure, au bout de laquelle on sera vainqueur ou vaincu avec le risque de se casser la gueule, alors ça n'a aucun intérêt."Louis Guilloux"Le meilleur qu'on puisse ramener du voyage, c'est soi-même, sain et sauf."proverbe persan"Voyager ajoute à sa vie."proverbe berbère"Le vrai voyageur ne sait pas où il va."proverbe chinois"Courir le monde de toutes les façons possibles, ce n'est pas seulement la découverte des autres, mais c'est d'abord l'exploration de soi-même, l'excitation de se voir agir et réagir. C'est le signe que l'homme moderne a pris conscience du gâchis qu'il y aurait à rendre passive une vie déjà bien courte."Xavier Maniguet"Le monde a gâté mon âme, mon imagination est inquiète, mon coeur est insatiable. Tout est trop petit pour moi je m'accomode facilement à la tristesse aussi bien qu'au plaisir, et ma vie devient de jour en jour plus vide. Il ne me reste plus qu'une seule ressource voyager." in "Un Héros de notre temps" de Mikhaïl Iourévitch Lermontov"Je sais, d'expérience, que courir le monde ne sert qu'à tuer le temps. On revient aussi insatisfait qu’on est parti. Il faut faire quelque chose de plus."Ella Maillart"Mais, qu'est-ce que l'Aventure ? Un accident que j'ai toujours cherché à éviter". Henry de Monfreid"On ne fait pas un voyage. Le voyage nous fait et nous défait, il nous invente."David Le Breton"Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu'il se suffit à lui-même. Certains pensent qu'ils font un voyage, en fait, c'est le voyage qui vous fait ou vous défait."Nicolas Bouvier"Marcher seul, sac au dos, c'est se livrer entièrement aux dangers et aux hommes. Il n'y a nulle possibilité de fuite comme à vélo ou d'abri comme avec une voiture."Bernard Ollivier"Un voyageur est une espèce d'historien; son devoir est de raconter fidèlement ce qu'il a vu ou ce qu'il a entendu dire; il ne doit rien inventer, mais aussi il ne doit rien omettre."Chateaubriand"A mon sens, écrire un voyage c'est faire le portrait des pays qu'on parcourt et le narrateur n'a pas le droit de les rendre méconnaissable."Léonie d'Aunet"Le tourisme est le moyen qui consiste à amener des gens qui seraient mieux chez eux dans des endroits qui seraient mieux sans eux."Philippe Meyer"Les grands voyages ont ceci de merveilleux que leur enchantement commence avant le départ même. On ouvre les atlas, on rêve sur les cartes. On répète les noms magnifiques des villes inconnues..."Joseph Kessel"Voyager ne sert pas beaucoup à comprendre mais à réactiver pendant un instant l'usage des yeux la lecture du monde."Italo Calvino"On peut voyager non pour se fuir, chose impossible, mais pour se trouver."J. Grenier"Le monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n'en lisent qu'une page."ou une variante... "La vie est un livre. Si on ne voyage pas, on n'en écrit qu'une page..."ou encore une autre..."Le monde est un livre dont chaque pas nous ouvre une page.""L'important c'est de n'être que de passage."E. Dabit"Je crois que l'on en apprend plus sur un pays en lisant, et en particulier en lisant ses romans, qu'en le visitant."Anthony Burgess"On voyage pour changer, non de lieu, mais d'idées."H. Taine"Marcher ne serait rien en soi, fût-ce pendant près de mille kilomètres, s'il ne fallait emporter un certain nombre de choses indispensables."J. Lacarrière"Lorsqu'on emploie trop de temps à voyager, on devient enfin étranger en son pays."R. Descartes"Une des dispositions constantes de l'homme est de souhaiter être ailleurs que là où il est."Jacques Réda"Pour bien aimer un pays il faut le manger, le boire et l’entendre chanter."Michel Déon"Il y a de grands voyages qu'on ne fait bien qu'en pantoufles."J. Sarment"En somme, je m'aperçois que les voyages, ça sert surtout à embêter les autres une fois qu'on est revenu !"Sacha Guitry"Vous pensez échapper à vos problèmes en partant en voyage, et ils partiront derrière vous." Witkiewicz"Le voyage apprend la tolérance."B. Disraeli"Le voyage est un retour vers l'essentiel."proverbe tibétain"Voyager, c'est être infidèle. Soyez-le sans remords; oubliez vos amis avec des inconnus."Paul Morand"Le voyageur est ce qui importe le plus dans le voyage."André Suarès"Un bon voyageur ne doit pas se produire, s'affirmer, s'expliquer, mais se taire, écouter et comprendre."Paul MorandMais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent. Pour partir,coeurs lègers,semblables aux ballons, De leur fatalité jamais ils ne s'écartent, Et, sans savoir pourquoi, disent toujours Allons ! Beaudelaire"Les touristes ont horreur de regarder. L’appareil regarde pour eux. Quand ils ont fait clic-clac, ils sont apaisés, ils ont amorti leur voyage. Les piles de photos qu’ils conservent sont autant de diplômes certifiant qu’ils se sont déplacés."Jean Dutour"Quand on voyage sans connaître l'anglais, on a l’impression d’être sourd-muet et idiot de naissance."Philippe Bouvard"Je réponds ordinairement à ceux qui me demandent raison de mes voyages que je sais bien ce que je fuis, et non pas ce que je cherche."Montaigne"Ce serait une belle chose que de voyager, s’il ne fallait point lever si matin."La Fontaine"Rien ne développe l'intelligence comme les voyages."Emile Zola"Voyager, c'est demander d'un coup à la distance ce que le temps ne pourrait nous donner que peu à peu."Paul Morand "Un pays, c'est pour moi, une visage, un sourire, un accueil, un prénom, bien plus que des villes, des montagnes, des forêts ou des rivières"Pierre Fillit"Partir, c'est quitter son cocon, ouvrir ses ailes et s'envoler. C'est s'apercevoir qu'on n'est pas les seuls sur la planète, qu'on ne sait pas tout comme on le pensait. On devient plus humble, plus tolérant, un peu plus intelligent ." n'a pas quitté son pays est plein de préjugés."Carlo Goldoni"Partir n'est plus un luxe réservé aux autres. C'est juste une expérience extraordinaire."préface du premier GDR; 1973"Voyager c'est vivre, apprendre le monde. Quand j'aurai appris, je pourrai mourrir tranquille."Charlotte Pioch"Celui qui ne voyage pas ne connaît pas la valeur des hommes."proverbe maure"Au premier voyage on découvre, au second on s'enrichit." proverbe touareg"Le voyage est ton père; quand tu te seras trouvé tu rentreras, et la terre sera ta mère."proverbe du Zanskar"L'aventure n'existe pas. Elle est dans l'esprit de celui qui la poursuit et, dès qu'il peut la toucher du doigt, elle s'évanouit, pour renaître bien plus loin."Pierre Mac Orlan"Le voyage pour moi, ce n'est pas arriver, c'est partir. C'est l'imprévu de la prochaine escale, c'est le désir jamais comblé de connaître sans cesse autre chose, c'est demain, éternellement demain." Roland Dorgelès"Partir, c'est mourir un peu" E. Haraucourt "Partir, c'est crever un pneu !"Coluche"On sait bien où l'on veut aller, mais on ignore quand, comment, par quel chemin on y parviendra. Inutile de s'en trop soucier d'avance; on verra bien..."Théodore Monod"Les voyages, ça ressemblent à l'amour ! Il y a les amours qui éclairent et ceux qui assombrissent. Tout dépend du coeur qui les vit, et les hommes ont le coeur qu'ils peuvent."L. Pelletier"Le secret pour voyager d'une façon agréable consiste à savoir poliment écouter les mensonges des autres et à les croire les plus possibles. On vous laissera, à cette condition, produire à votre tour votre petit effet et, ainsi, le profit sera réciproque."Dostovieski"Un voyage de 1 000 km commence toujours par un pas."Lao Tseu"Les voyages sont l'éducation de la jeunesse et l'expérience de la vieillesse."Francis Bacon"L'impulsion du voyage est l'un des plus encourageants symptômes de la vie."Agnès Repplier"Ah ! Les français ça voyage mal, c'est comme le camembert !" Claude Zidi"Les sites les plus beaux ne sont que ce que nous en faisons. Quel homme un peu poète n'a dans ses souvenirs un quartier de roche qui tient plus de place que n'en on pris les plus célèbres aspects des pays recherchés à grands frais !"Honoré de Balzac"Qu'est-ce qu'en général qu'un voyageur ? C'est un homme qui s'en va chercher un bout de conversation au bout du monde."Barbay d'Aurevilly"Tant il est vrai qu'on est persuadé que les voyages forment le jugement et perfectionnent l'homme, qu'on prétend être comme ces plantes qui ne peuvent porter de bons fruits qu'après avoir été transplantées."F. Deseine"En route, le mieux c'est de se perdre. Lorsqu'on s'égare, les projets font place aux surprises et c'est alors, mais alors seulement, que le voyage commence." Nicolas Bouvier"Tout bien considéré, il y a deux sortes d'hommes dans le monde ceux qui restent chez eux, et les autres."Rudyard Kipling"Le plus difficile pour un homme qui habite Vilvoorde et qui veut aller vivre à Hong-Kong, ce n'est pas d'aller à Hong-Kong, c'est de quitter Vilvoorde."Jacques Brel"On ne va jamais aussi loin que lorsqu'on ne sait pas où l'on va."Christophe Colomb"Le voyage, comme l'amour, représente une tentative pour transformer un rêve en réalité."Alain de Botton"On ne voyage pas si on ne rêve pas le voyage qu'on fait. Je ne parle pas du rêve qui endort, mais de celui qui réveille, en nage, à la gorge, l'hirsute, le traviole, le pas racontable, le si beau qu'on arrête de vieillir."Daniel Mermet"Et il n'est rien de plus beau que l'instant qui précède le voyage, l'instant où l'horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses."Milan Kundera"Ce n'est pas dans je ne sais quelle retraite que nous découvrirons c'est sur la route, dans les villes, au milieu de la foule, chose parmi les choses, homme parmi les hommes."Jean-Paul Sartre"Il est des voyages qu'on dirait faits pour illustrer la vie même et qui peuvent servir de symboles à l'existence. On se démène, on trime, on sue sang et eau, on se tue presque, on se tue même vraiment parfois à essayer d'accomplir quelque chose - et on n'y parvient pas."Joseph Conrad"L'une des choses que j'apprécie le plus quand je voyage à l'étranger, c'est de penser que je vais retourner en France."P. Daninos"J'ai parfois l'impression de vagabonder autour du monde dans le seul but d'accumuler le matériau de futures nostalgies."Vikram Seth"Mieux vaut avoir des souvenirs que des regrets, donc voyagez !" vaut bien des voyages et elle coûte moins cher." Curtis"L'homme n'a pas besoin de voyager pour s'agrandir; il porte avec lui l'immensité."Chateaubriand"On voyage autour du monde à la recherche de quelque chose et on rentre chez soi pour le trouver."G. Moore"Le vrai voyage, c'est d’y aller. Une fois arrivé, le voyage est fini. Aujourd’hui les gens commencent par la fin."Hugo Verlomme"Il faut voyager pour frotter et limer sa cervelle contre celle d'autrui."Montaigne"Le voyage n'est nécessaire qu'aux imaginations courtes."Colette"Le voyage est une espèce de porte par où l'on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve."Guy de Maupassant"Moi, le seul voyage qui m'intéresse, c'est la mort. Parce qu'on ne rapporte pas de diapos."Wolinski"Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux."Marcel Proust"L'important arrive non pas au terme de la route, mais bien avant, pendant le trajet lui-même."M. Pavic"Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé, qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie."Lamartine"Un voyage prouve moins de désir du pays où l’on va que d’ennui du pays que l’on quitte."A. Karr"On ne voyage pas pour voyager mais pour avoir voyagé."A. Karr"La plupart des voyages trouvent leur intérêt dans l'anticipation qu'on en fait ou le souvenir qu'on en garde; la réalité se limite le plus souvent à la perte de ses bagages."R. Nadelson Et pour bien d'autres encore, "Evene - Citations" 20 001 citations et proverbes, 5 000 auteurs, près de 100 pays, issus de tous types de sources et sur tous les sujets, des plus philosophiques aux plus actuels… . 5 364 498 163 474 252 511 663

le train de la vie texte