PoĂšmeenterrement. Le jour viendra est un magnifique texte enterrement Avec beaucoup de grĂące, le dĂ©funt s’adresse Ă  ses proches en faisant part de son choix de faire don de son corps Ă  la science. Il est Ă©vident que ce poĂšme aura toute sa Fabrice Luchini et Patrick Bruel, duo d'acteurs complices dans "Le meilleur reste Ă  venir". Peut-on rattraper le temps qui reste face Ă  la maladie? Patrick Bruel et Fabrice Luchini tentent de rĂ©pondre Ă  la question entre humour, Ă©motion et amitiĂ© indĂ©fectible dans Le meilleur reste Ă  venir », une comĂ©die-dramatique sur le thĂšme sensible du cancer portĂ©e par un duo d’acteurs formidables. Si Le meilleur reste Ă  venir » est menĂ© au dĂ©but comme une comĂ©die façon Francis Veber, le ton se fait plus grave en deuxiĂšme partie et aborde la question de la rĂ©action des proches et de la peur devant la maladie incurable Le meilleur reste Ă  venir » Fabrice Luchini et Patrick Bruel – Photo PathĂ©Qu’est-ce que l’amitiĂ© ? Un rĂȘve jouĂ© enfant qui se poursuit, si possible, tout au long de la vie. Les deux personnages du film Le meilleur reste Ă  venir » des rĂ©alisateurs Matthieu Delaporte et Alexandre de La PatelliĂšre Le prĂ©nom » sont amis Ă  la vie, Ă  la mort et savent qu’ils comptent l’un pour l’autre. CĂ©sar Montesiho Patrick Bruel qui ouvre le film, est dans la cinquantaine, poursuivi par des huissiers, lesquels viennent frapper Ă  la porte de son appartement pour saisir ses biens. La discussion s’enflamme, il chute par la fenĂȘtre et se casse plusieurs cĂŽtes. Il se rĂ©fugie chez son meilleur ami, Arthur Dreyfus Fabrice Luchini, chercheur Ă  l’Institut Pasteur, qui l’emmĂšne Ă  l’hĂŽpital afin qu’il passe des radios, prĂȘtant sa carte vitale personnelle Ă  CĂ©sar qui n’en a pas. LIRE AUSSI TĂ©lĂ© “Jean-Philippe” et si Johnny Hallyday n’avait jamais existé  A partir des rĂ©sultats – un cancer des poumons est diagnostiquĂ© – CĂ©sar va croire Arthur malade, ce dernier ne trouvant pas de moments propices pour avouer que le cancĂ©reux n’est pas celui auquel il pense. Tout le film joue sur ce quiproquo et un tandem d’acteurs qui ne cabotinent pas trop. Avec d’un cĂŽtĂ© l’envahissant et gĂ©nĂ©reux CĂ©sar qui va jusqu’à s’installer chez son ami et de l’autre Arthur, presque timide, qui ne sait comment lui annoncer la mauvaise nouvelle. Exact contraire de Bruel, Luchini est introverti, boit peu, ne drague pas il est divorcĂ©, n’est pas autoritaire, sauf peut-ĂȘtre avec ses Ă©tudiants dans l’amphithéùtre. Il a une vie rangĂ©e, entourĂ© de livres, ne sort pas, a peur de prendre l’avion. Patrick Bruel dont le jeu rappelle Yves Montand dans certaines de ses comĂ©dies va l’inciter Ă  faire la bringue et Ă  profiter de l’existence, le pousse Ă  aller en boĂźte », l’entraĂźne au Casino oĂč ils gagnent et perdent beaucoup d’argent. Et si Luchini renĂącle et rouspĂšte, il cĂšde toujours par amitiĂ© et compassion pour son ami qui vit ses six derniers mois. LIRE AUSSI “Adieu les cons” Albert Dupontel entre non-sens, romantisme et humour Si le film est menĂ© au dĂ©but comme une comĂ©die façon Francis Veber, le ton se fait plus grave en deuxiĂšme partie et aborde la question de la rĂ©action des proches et de la peur devant la maladie incurable. Que peuvent-ils faire de mieux pour l’aider dans ses derniers jours, les regrets, les remords, les petites ou grosses trahisons, comment donner de l’amour ? MalgrĂ© des disputes parfois violentes entre CĂ©sar au caractĂšre emportĂ© et Arthur, tĂȘtu et presque bornĂ©, l’amitiĂ© ne se rompt jamais. Jusqu’aux obsĂšques de CĂ©sar dans un cimetiĂšre Ă  l’abri de hauts arbres, oĂč Arthur rend un dernier hommage Ă  son ami disparu, dĂ©chirant de douleur contenue Luchini, formidable. Une fin Ă©mouvante qui fait oublier les scĂšnes parfois rĂ©pĂ©titives oĂč Arthur cherche Ă  dire la vĂ©ritĂ© Ă  CĂ©sar. Mais l’histoire a le mĂ©rite d’amener Ă  la rĂ©flexion sur nos comportements face au cancer, Ă  nos bons sentiments mĂȘlĂ©s souvent de mesquineries, Ă  nos soucis qui ne sont rien comparĂ©s Ă  la mort future d’une personne aimĂ©e. Un thĂšme sensible portĂ© par des comĂ©diens souvent justes. JANE HOFFMANN A voir Le meilleur reste Ă  venir » de Mathieu Delaporte et Alexandre de La PatelliĂšre, avec Fabrice Lucchini, Patrick Bruel, Zineb Triki, Pascale Arbillot
 A voir vendredi 4 dĂ©cembre sur Canal + CinĂ©ma – 2050
Lemeilleur reste à venir par Sefi Atta aux éditions Actes Sud. Le jour viendra est un magnifique texte enterrement Avec beaucoup de grùce, le défunt s'adresse à ses proches en faisant part de son choix de faire don de son corps à la science. Tableau Des Honoraires Architecte, J'ai peur d'oublier.
Gardez votre fourchette ! C’est l’histoire d’une dame qui souffrait d’un cancer. Elle Ă©tait en phase terminale et savait qu’il ne lui restait plus que trois mois Ă  vivre. Voulant mettre de l’ordre dans ses affaires, elle demanda Ă  son pasteur de venir chez elle pour discuter certaines de ses derniĂšres volontĂ©s. Elle lui dit quels cantiques on devait chanter, quels passages de l’Écriture devaient ĂȘtre lus Ă  ses funĂ©railles et dans quelle toilette elle voulait ĂȘtre enterrĂ©e. La dame demandait Ă©galement qu’on l’enterre avec sa Bible prĂ©fĂ©rĂ©e. Tout Ă©tait en ordre et le prĂȘtre se prĂ©parait Ă  partir lorsque la dame se rappela soudain une chose trĂšs importante. » Il y a encore quelque chose , s’exclama-t-elle. » C’est trĂšs sĂ©rieux je veux qu’on m’enterre avec une fourchette Ă  la main droite. » Le pasteur, interloquĂ©, la regardait sans savoir trĂšs bien quoi lui rĂ©pondre. » Cela vous surprend, n’est-ce pas , dit la dame. » Eh bien, pour ĂȘtre honnĂȘte, j’avoue que cette derniĂšre demande m’étonne un peu , rĂ©pondit-il. La dame s’expliqua. » J’ai participĂ© bien des fois, dans notre paroisse, Ă  des fĂȘtes et Ă  des banquets, et je me souviens qu’aprĂšs avoir fini le plat principal il y avait toujours quelqu’un qui lançait Et gardez votre fourchette, le meilleur est encore Ă  venir’, comme un gĂąteau au chocolat veloutĂ© ou une succulente tarte aux pommes. En tout cas quelque chose de merveilleux et de substantiel! Alors je veux simplement que lorsque les gens me verront dans mon cercueil avec une fourchette Ă  la main, ils s’interrogent et vous posent la question » Mais qu’est-ce que c’est que cette fourchette? » Et je veux que vous leur disiez alors » Gardez votre fourchette
 le meilleur est encore Ă  venir. » Les larmes aux yeux, le prĂȘtre embrassa la dame et prit congĂ©. Il savait qu’il ne la reverrait plus avant sa mort. Mais il savait aussi que cette femme avait compris mieux que lui ce qu’était le Ciel. Elle SAVAIT que quelque chose de meilleur l’attendait. Aux funĂ©railles, les gens qui s’approchaient de son cercueil la voyaient qui reposait dans sa plus belle robe avec sa Bible prĂ©fĂ©rĂ©e et une fourchette Ă  la main droite. Et le pasteur entendit maintes fois la question » Mais qu’est-ce que c’est que cette fourchette? » Et toujours il racontait en souriant la conversation qu’il avait eue avec cette dame peu de temps avant sa mort. Il leur dit aussi que depuis ce jour, il ne pouvait s’empĂȘcher de penser Ă  cette fourchette et que ce sera probablement leur cas Ă  eux aussi. Il avait raison. Alors la prochaine fois que vous dĂ©poserez votre fourchette, rappelez-vous, oh trĂšs gentiment, que le meilleur est encore Ă  venir. Auteur inconnu – photo Copyright c 123RF Stock Photos
Pources deux Ăąmes blessĂ©es reste l'espoir que le meilleur est Ă  venir En lire plus. Previous page. Nombre de pages de l'Ă©dition imprimĂ©e . 272 pages. Langue. Français. Éditeur. Belfond. Date de publication. 20 mai Ce soir, au cours de cette Ă©lection, vous, le peuple amĂ©ricain, nous avez rappelĂ©, que bien que les conditions soient difficiles, que le voyage soit long, nous avons su retrouver notre route. Et nous savons au plus profond de nos cƓurs que le meilleur reste Ă  venir pour les Etats-Unis d’AmĂ©rique», a dĂ©clarĂ© le prĂ©sident sortant réélu pour un mandat de 4 ans. Barack Obama a annoncĂ© qu’il va travailler avec son adversaire Romney pour faire avancer le pays». Je voudrais remercier chaque AmĂ©ricain qui a participĂ© Ă  cette Ă©lection. Que vous ayez votĂ© pour la toute premiĂšre fois, que vous ayez fait du porte Ă  porte, appelĂ© les gens au tĂ©lĂ©phone, que vous ayez fait soulever un panneau Obama ou Romney, vous avez fait entendre votre voix et vous avez fait la diffĂ©rence!» Je viens de parler au Gouverneur Romney, je l’ai fĂ©licitĂ© ainsi que Paul Ryan pour leur campagne. Nous avons certes luttĂ© farouchement, mais c’est uniquement parce que nous aimons notre pays, et que son avenir nous importe tant. Au cours des semaines qui viennent, j’espĂšre pouvoir m’asseoir Ă  nouveau avec le Gouverneur Romney pour voir ce que nous pouvons faire ensemble pour notre pays.» Je voudrais remercier mon meilleur partenaire depuis quatre ans, le meilleur Vice-prĂ©sident dont on puisse rĂȘver, Joe Biden. Je ne serai pas l’homme que je suis aujourd’hui sans la femme qui a acceptĂ© de m’épouser, il y a vingt ans dĂ©jĂ . Je veux dire en public Ă  MichĂšle, MichĂšle je ne t’ai jamais aimĂ©e autant qu’aujourd’hui. Et je suis heureux que le reste de l’AmĂ©rique soit tombĂ© amoureux de toi comme PremiĂšre Dame des Etats-Unis», dira Barack Obama qui n’a pas oubliĂ© dans son discours de faire un clin d'oeil Ă  ses filles, Sacha et Malaya. A la meilleure Ă©quipe de campagne, et aux meilleurs volontaires de l’histoire de la politique, les meilleurs que l’on n’ait jamais vus. L’idĂ©e de l’AmĂ©rique ne consiste pas Ă  savoir ce que l’Etat peut faire pour nous, mais ce que nous pouvons faire pour l’Etat. Ce qui fait de l’AmĂ©rique un mythe exceptionnel, c’est ce lien qui tient ensemble une si grande diversitĂ©.» Je suis plein d’espoir, parce que j’ai senti l’esprit des travailleurs amĂ©ricains, je les ai vus Ă  l’Ɠuvre, j’ai vu cet esprit chez les soldats qui se sont engagĂ©s, chez les forces spĂ©ciales,  » Je n’ai jamais Ă©tĂ© aussi plein d’espoir pour notre pays, il ne s’agit pas d’ĂȘtre bĂ©atement idĂ©aliste, c’est dans la difficultĂ© qu’on peut faire vivre l’espoir, nous pouvons continuer Ă  aller de l’avant, Ă  crĂ©er des emplois, nous pouvons respecter la promesse des pĂšres fondateurs de notre pays, peu importe d’oĂč l’on vienne. Si vous travaillez, vous pouvez y arriver, nous ne sommes pas cyniques, nous sommes bien davantage que la collection de nos opinions. Nous vivons dans le pays le plus merveilleux du monde.» ... Musiqueextrait du film "Le meilleur reste Ă  venir” ☑ Streamez ou tĂ©lĂ©chargez la BO: đŸŽ” Soundtrack complĂšte sur YouTube: http

Matthieu Delaporte et Alexandre de La PatelliĂšre
 Leur nom ne vous dit peut-ĂȘtre rien, mais ils sont les rĂ©alisateurs du PrĂ©nom », Ă©norme succĂšs en 2012. Ils reviennent avec un duo d’acteurs ultra-populaires pour Ă©voquer un sujet sensible le cancer
 entre rires et larmes. Fabrice Luchini et Patrick Bruel. PubliĂ© 3 DĂ©cembre 2019 Ă  16h54 Temps de lecture 3 min – L’affiche montre deux hommes, hilares. Votre film n’est cependant pas qu’une comĂ©die. Comment dĂ©finiriez-vous sa tonalitĂ© ? Alexandre Nous avons voulu faire un film vivant. » Matthieu Nous voulons renouer avec le cinĂ©ma des annĂ©es 70 en France. Vincent, François, Paul et les autres, ou Nous irons tous au paradis qui aurait pu ĂȘtre un trĂšs bon titre pour notre film Ă©galement. Il y a une notion de voyage Ă  travers des Ă©motions successives. » DĂ©couvrir plus de vidĂ©os – Bruel et Luchini sont censĂ©s ĂȘtre des amis d’enfance. Leur diffĂ©rence d’ñge a-t-elle Ă©tĂ© un frein ? Matthieu Au dĂ©part, on ne connaissait pas cette diffĂ©rence d’ñge. On se souvenait du film dans lequel ils jouent tous les deux. » Alexandre Ce sont deux hommes d’une mĂȘme gĂ©nĂ©ration. Dans l’imaginaire collectif, ils sont reliĂ©s. Patrick est devenu une star quand Fabrice sortait La DiscrĂšte et explosait lui aussi. Ils ont un patrimoine commun. » Matthieu Ils se sont connus Ă  une Ă©poque oĂč ils n’étaient pas connus finalement. Notre film, ce sont des retrouvailles de camarades de classe. » – Quelles sont leurs maniĂšres de travailler ? Alexandre Patrick est un Ă©norme bosseur, trĂšs technicien, il prĂ©pare beaucoup. Fabrice est l’homme qu’on connaĂźt, flamboyant, mais c’est un ascĂšte. Le texte, c’est sa religion, sa foi. Il connaissait le scĂ©nario par cƓur, nous appelait rĂ©guliĂšrement, et ça ne durait pas deux minutes, je vous promets. » Matthieu Fabrice ne rentre pas dans un personnage par la psychologie. Il est comme un musicien qui cherche son rĂŽle Ă  travers le rythme des mots. » Matthieu Delaporte et Alexandre de La PatelliĂšre. – Comme dans Le PrĂ©nom », votre film tourne d’un mot. En l’occurrence ici, c’est cancer »  Matthieu Oui, il y a ce qui est dit et ce qui est compris. Le film tourne autour de ça. Dans quelle mesure la parole libĂšre ou emprisonne ? » Alexandre C’est un film sur la parole en tout cas. » – Avec ce film, essayez-vous de briser un tabou autour de ce mot ? Alexandre Les rencontres avec le public nous montrent qu’autour de ce mot, il y a forcĂ©ment un tas d’histoires trĂšs personnelles. Nous constatons que les malades sont parfois renvoyĂ©s Ă  une sorte de responsabilitĂ© de leur propre maladie, comme s’il y avait une honte. Les gens nous en parlent. Le film est donc irriguĂ© de cette volontĂ© que cela puisse bouger. » Matthieu Il se trouve que quand on cherchait la porte d’entrĂ©e de cette histoire, j’ai lu un livre, avec la description prĂ©cise d’un mĂ©lanome. Ça correspondait exactement Ă  ce que j’avais sur la cuisse. Je vais voir un dermatologue. C’était effectivement un mĂ©lanome. On doit attendre le rĂ©sultat des biopsies. LĂ , vous entrez dans un suspense trĂšs particulier pendant un mois, j’étais en pleine santĂ©, mais en attente de savoir de quel cĂŽtĂ© la piĂšce allait tomber. Soit c’est le bon cĂŽtĂ©, comme pour moi, on peut estimer que je suis guĂ©ri. Soit c’est un trĂšs mauvais diagnostic. Pendant un mois, j’ai Ă©tĂ© comme en lĂ©vitation, Ă  me dire que c’était peut-ĂȘtre mon dernier mois d’insouciance. » Alexandre La vie est entrĂ©e par effraction dans le film. Il y a eu la difficultĂ© de dire les choses, de transmettre les mots. C’est lĂ  qu’on a eu l’idĂ©e du quiproquo du scĂ©nario. Les gens nous remercient de parler de la maladie dans un film populaire, et mĂȘme d’en rire. » Lire aussi Sortie cinĂ© Les Volets verts»**, crĂ©puscule d’un gĂ©ant Franck Dubosc Je suis juste un peu fatiguĂ© de faire rire» Sortie cinĂ© Trois mille ans Ă  t’attendre»**, confessions d’un djinn Poursuivez votre lecture sur ces sujets CinĂ©ma Patrick Bruel Fabrice Luchini

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